Face à l’océan …
Essaouira (ex Mogador) est une ancienne citée fondée par les portugais.
Paradis des wind-surfers, cette ville très touristique est pleine de charme et nous y séjournons un jour entier à déambuler dans la médina et le souk. Pour le midi, un petit restaurant dans la médina fait parfaitement l’affaire avec comme plat unique pour tout le monde des petits poissons et des crevettes frits à merveille. Bien sûr couteaux et fourchettes sont inconnus, mais qu’est-ce que c’est bon !!! Nous voyant attablés au milieu des autochtones un couple espagnol ose également tenter l’aventure …
Nous retrouvons également la boutique d’un artiste sculpteur de tronc de thuya qui prétend ne pas avoir de talent car « tout est dans le bois il n’y a qu’à se laisser guider ». Une nouvelle fois Pierre craquera pour une de ses sculptures !
Le lendemain nous regagnons Oualidia où comme il y a déjà 40 ans il suffit de descendre au bord de la lagune pour que les pécheurs viennent vendre leur produits ultra frais !
Le soir nous faisons étape juste au bord d’une falaise de 30 mètres environ. Le bruit de l’océan nous bercera doucement toute la nuit.
Depuis Safi, nous longeons la côte avec une route « saute moutons » aux 10.000 ralentisseurs ! Même les passages refaits à neuf tellement la route était défoncée ne sont que creux et bosses. En France ils veulent nous imposer le 80Km/h ici on ne dépasse pas le 60 sous peine de casse !
Toujours sur le même type de route, nous regagnons ensuite Azemmour et El Jadida pour là aussi flâner dans ces médinas que nous apprécions.
1 Comment
Coucou
Ah non trop c’est trop ! Voilà que vous faites à nouveau de la provoc avec les dégustations aux doigts….
La médina le souk cela fait rêver. Surtout le souk et dieu sait si je mis connais pour le souk, il suffit de demander à Jean-Louis (attention petit sourire en coin de l’intéressé…)
Les crevettes grillées j’adore.
Quand j’étais petite mon père préparait les petits poissons des vérons entre autres bien grillés le dimanche soir après la pèche de l’après-midi Cette évocation, c’est un peu comme une madeleine …
Les bords de falaise ce n’est pas pour moi. Dès qu’il y a un peu de hauteur j’ai les mollets qui se vident quant à regarder en bas ce n’est même pas la peine.
J’imagine bien Orion à saute moutons : il faut aimer … mais quand on aime on ne compte pas et il me semble que vous avez été bien secoués sur les différentes routes empruntées.
Plus que quelques sauts pour vous retrouver parmi nous, soyez prudents et comme vous le dites « attention à la casse »
Bises